Les services de cancérologie s’ouvrent à l’homéopathie…

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Bonnes nouvelles: Les services de cancérologie s’ouvrent à l’homéopathie…

Il n’est plus possible aujourd’hui de faire l’impasse sur les médecines complémentaires, lesquelles viennent enrichir ou compléter les traitements anticancer de référence. À condition qu’elles ne détournent pas des traitements classiques, elles représentent des soins de support qui ont leur place dans la prise en charge des patients atteints d’un cancer (ostéopathie, acupuncture, homéopathie, mais aussi régime alimentaire : oméga-3, vitamines, probiotiques, thé vert, etc.). Même les cancérologues le reconnaissent, comme l’atteste l’ouverture de consultations homéopathiques dans certains services d’oncologie.

Les études récentes indiquent que 60% des patients traités pour un cancer utilisent des médecines complémentaires (la moitié d’entre eux sans en faire part à leur médecin*). Concernant l’homéopathie, sur les 2 millions de cancéreux, 700.000 y auraient recours. Il s’agit d’une aide complémentaire qui intervient très tôt, dès l’annonce du diagnostic, pour combattre l’angoisse et le stress, puis comme complément du traitement médicamenteux ou chirurgical, ou encore pour anticiper ou combattre les effets secondaires liés aux traitements : nausées, vomissements, diarrhées, amaigrissement, asthénie, états dépressifs, xérose tissulaire, troubles des phanères, neuropathies périphériques…

Ce soutien est d’autant plus important qu’aujourd’hui les patients cancéreux ont une durée de vie de plus en plus longue, certains allant jusqu’à dépasser de 2,5 fois la durée moyenne. Le soutien apporté par les médecines complémentaires est ici essentiel.

Encore une fois, il ne s’agit pas de s’opposer aux traitements classiques, dont l’efficacité a été prouvée mais de soins de support. N’hésitez pas à en parler à votre cancérologue et au personnel du service. Aux États-Unis, 30 à 40% de la population générale recourent aux médecines complémentaires, contre 70 à 80% des personnes suivies en cancérologie (35% des patients cancéreux en Europe). Quelque 15 % des hôpitaux américains proposent des soins de ce type et de nombreuses recherches sont effectuées pour valider ces traitements qui peuvent aider l’organisme à lutter contre la maladie, à améliorer les traitements, le bien-être physique et émotionnel…

Source : Dr Philippe Massol, Egora.fr, 19 janvier 2011 ; *Rodrigues M et al, Eurocancer 2010.

Pour comprendre l’Homéopathie

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Qu’est-ce que l’homéopathie?

L’homéopathie est un mot inventé par Samuel Hahneman à partir du grec omoios « semblable » et pathos « souffrance, maladie ».

L’homéopathie est une thérapeutique qui traite la maladie par des substances médicinales ayant la propriété de produire des symptômes semblables à cette maladie. Les médicaments, administrés à dose infinitésimalement petite, tiennent compte de l’individu et de ses réactions à la maladie.

Quels sont les grands principes de l’homéopathie?

L’homéopathie s’appuie sur trois éléments fondamentaux:

  • Le principe de la similitude,
  • l’infinitésimalité, et
  • la notion de c.

En premier lieu, l’homéopathie repose sur l’application d’une relation de similitude: un médicament provoque chez un sujet sain et sensible des symptômes identiques à ceux qu’il est susceptible de guérir chez un sujet malade.

Pour concrétiser cette relation, il faut utiliser le médicament à doses infinitésimales, prendre en compte la notion de globalité, et donc considérer l’ensemble des symptômes présentés par le malade pour prescrire le médicament.

Ces trois principes peuvent s’appliquer isolément ou simultanément selon les médicaments et les indications cliniques. Par conséquent, il faut:

– retrouver le principe de similitude, en mettant en correspondance les symptômes du malade et les symptômes provoqués par la substance;

– utiliser la substance sous la forme de médicament homéopathique, soit diluée et dynamisée;

– tenir compte de la globalité, en observant le malade dans son intégralité, en se préoccupant ainsi de sa maladie, de ses réactions individuelles, et de son environnement.

La notion de globalité, ou notion de la maladie étendue à l’homme, permet la découverte du ou des médicaments homéopathiques à partir des symptômes de la maladie et de la totalité des réactions de l’individu à celle-ci. Cette notion de globalité est à la base d’une conception originale de la maladie parce qu’elle la sort de son cadre habituel pour en faire une maladie de la personne malade et non l’isoler de celle-ci.

Ainsi, le malade, dans l’approche thérapeutique homéopathique, est indissociable de la maladie et du médicament.

  • Le principe de similitude

Le principe de similitude répond à une définition précise: un médicament provoque chez un sujet sain et sensible des symptômes identiques à ceux qu’il est susceptible de guérir chez un sujet malade.

L’exemple le plus classique et le plus  »piquant » souvent utilisé pour expliquer le principe de similitude est celui de la piqûre d’abeille. Elle provoque au point d’impact – tous ceux qui en ont fait la malheureuse expérience le savent – un gonflement (œdème), une rougeur (la peau devient rosée) et une douleur vive, élançante, avec une sensation de brûlure. Cette douleur est aggravée par l’application d’une compresse chaude et améliorée par le froid: souvent, l’utilisation d’un glaçon la soulage.

En homéopathie, on utilise donc l’abeille entière vivante, Apis mellifica, dans tous les œdèmes rosés d’apparition brutale qui, localement sont aggravés par la chaleur et améliorés par le froid. Ces œdèmes peuvent survenir aussi bien dans le cadre d’une conjonctivite avec gonflement et rougeur de la paupière que lors de l’épanchement d’une articulation du genou par exemple. Ce médicament peut, bien entendu, être utilisé dans les piqûres d’insecte, et d’abeille en particulier, à partir du moment où celles-ci provoquent un œdème analogue.

Le principe de similitude représente la faculté que possède une substance de guérir, chez un sujet malade, les symptômes qu’elle induit chez un sujet sain et sensible à cette substance. Ces symptômes peuvent découler soit de l’expérimentation humaine, soit de la toxicologie, soit de l’expérience clinique.

L’application du principe de similitude permet de déterminer l’activité des médicaments homéopathique. C’est pourquoi Hahnemann, le concepteur de l’homéopathie, recommandait de rechercher la plus grande similitude de symptômes entre la maladie naturelle et la maladie artificielle, provoquée de façon factice, à doses pondérales et/ou homéopathiques, par la substance.

Hahneman observa que des maladies  »naturelles » présentaient des analogies avec des maladies  »médicamenteuses » provoquées pas des substances médicinales de son époque. Il y rattacha la notion de similitude qui consiste à donner au malade comme médicament une substance susceptible de provoquer chez un individu sain une:

               SEMBLABLE                    SOUFFRANCE

                 (HOMEO)                        (PATHOS)

Ainsi, le médicament homéopathique guérit le malade si les symptômes présents sont semblables aux signes développés par ce remède chez le sujet sain, ou à ceux guéris empiriquement (par observation), mais de façon reproductible, chez le malade.

Pour reprendre l’exemple précédent, Apis mellifica sera efficace si, d’une part, les symptômes sont similaires à ceux reproduits pas la piqûre d’abeille – c’est le principe de similitude – et si, d’autre part, la seconde partie de la définition est remplie: c’est la notion d’infinitésimalité.

  • L’infinitésimalité

Aujourd’hui, le terme d’  »infinitésimalité » désignant les faibles doses du médicament homéopathique est remplacé par celui de  »hautes dilutions », qui illustre leur mode de préparation.

Le médicament homéopathique – dont le mode de préparation est essentiel à l’activité de cette thérapeutique – est obtenu par dilutions successives de la substance de départ. Ces dilutions sont tellement importantes qu’elles dépassent le seuil théorique de présence moléculaire (nombre d’Avogadro supérieur à 10-23), limite symbolique et physique au-delà de laquelle la probabilité de présence d’une molécule est quasi nulle. À chaque pallier de dilutions a lieu une agitation vigoureuse des flacons appelée  »dynamisation ».

Ces découvertes ne furent pas le fruit du hasard, puisque Hahneman, en 1790, commença naturellement à expérimenter les médicaments à doses subtoxiques. Il observa alors que les guérisons survenaient après une aggravation passagère. Il diminua donc les doses et aboutit à de très faibles quantités, qu’il appela dilutions infinitésimales, et à un mode de préparation spécifique du médicament homéopathique.

L’infinitésimalité est donc le fruit de l’expérience clinique: En effet, Hahneman pour justifier sa démarche que  »ce n’est pas, en vertu d’une opinion préconçue ni par amour de la singularité que je me suis décidé en faveur d’aussi faibles doses… J’y suis arrivé après des expériences et des observations ».

  • La notion de globalité

La notion de globalité, ou notion de maladie étendue à l’homme, est une conception médicale homéopathique qui élargit la notion de maladie à la personne  qui souffre, et l’intègre dans sa démarche thérapeutique.

Cette notion découle de la relation de similitude qui essaie de faire coïncider les signes que présente le malade avec ceux du ou des médicaments. L’étude des symptômes de la maladie et des réactions pathologiques individuelles est indispensable à la recherche du médicament homéopathique. Cette investigation globale a pour but la prescription, car l’homéopathie est un traitement de la personne malade, plutôt que de la maladie. C’est pourquoi la notion de globalité est directement liée à celle de terrain, et intervient donc tant dans les maladies aiguës que chroniques, même si, pour les premières, sa recherche est moins poussée.

La globalité, donc l’étude pour chaque malade de l’ensemble des symptômes, permet, à partir d’une synthèse de ceux-ci, de déterminer le choix du médicament.

Elle comprend:

– les signes actuels de la maladie et les réactions propres de la personne à celle-ci;

– les signes antérieurs, l’évolution, le rythme, les circonstances d’amélioration ou d’aggravation de la maladie;

– le terrain, c’est-à-dire le mode de réaction général de l’individu face à la maladie;

– la constitution du sujet.

La globalité prend en compte la personne entière ce qui fait que la notion de maladie est différente en homéopathie, puisque qu’elle présume que toute maladie locale implique des réactions générales de l’organisme. Cette thérapeutique s’oppose à la séparation entre les signes classiques de la maladie et les signes généraux de la réaction individuelle.

La globalité nécessite, pour la recherche du médicament homéopathique, de s’attacher aux symptômes objectifs et subjectifs caractéristiques, les plus frappants, les plus originaux, les plus inusités et les plus personnels.


Le cadeau de la rentrée scolaire…le retour des poux

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Ça gratte et, en plus d’être coriaces, les poux se reproduisent à une vitesse folle ! Conseils et recommandations pour une tête sans bébêtes.

Malgré l’existence de traitements aux insecticides chimiques et de programmes d’éradication en milieu communautaire et scolaire, les poux de tête demeurent endémiques au Canada.

La pédiculose du cuir chevelu est un  problème de santé publique  pour lequel personne n’est vraiment responsable.

Pendant longtemps, la pédiculose a été perçue comme la réponse à un manque d’hygiène et de propreté. Faux ! Il semblerait même que les poux soient plutôt attirés par les cheveux bien propres… De même, il n’existe pas de « têtes à poux ». Tous les enfants, blonds, bruns ou roux sont susceptibles d’être un jour concernés, surtout dans la tranche d’âge 3-10 ans. La transmission des poux se  fait très facilement, surtout dans certains  milieux où les personnes  vivent en contact étroit comme à  l’école, à la  garderie, dans les camps d’été et  autres endroits. Les jeunes  enfants sont plus enclins à attraper des  poux uniquement parce qu’ils  vivent souvent en groupe.

Ces petits insectes de la grosseur d’une tête d’épingle, vivent sur le cuir chevelu. Ils pondent leurs œufs (lentes) très près de la racine des cheveux; ils percent de petits trous dans le cuir chevelu, sucent le sang et se multiplient par centaines. Ils ont besoin de chaleur, d’humidité et d’une source de sang humain pour survivre. La transmission s’effectue surtout par contact direct (de tête à tête). Ils survivent rarement plus de 36 heures hors de l’hôte.

Malgré leur caractère bénin, les infestations de poux de tête continuent de susciter un intense émoi social.

Les dangers de la lutte classique
Les principes actifs qui entrent dans la composition des produits anti-poux sont : le malathion, la perméthrine, l’alléthrine, la bioalléthrine, le D-phénothrine, le pipéronil-butoxide (ce n’est pas un pesticide mais il renforce l’action de celui-ci). Aucune de ces substances n’est inoffensive pour la santé.
En effet, la plupart d’entre elles sont considérées comme cancérigènes ou susceptibles de l’être pour l’homme. Certaines sont même tératogènes, c’est-à-dire qu’elles provoquent des malformations chez les nouveau-nés. En outre, leurs effets secondaires peuvent se traduire par des symptômes qui vont de la fatigue jusqu’à des comas ou des troubles cardio-respiratoires dans les cas les plus graves. Les produits contenant du lindane ont été retirés du marché mais il en reste encore dans nos armoires.
Débarrassons-nous en dans les collectes sélectives de petits déchets chimiques (ce sont des produits dangereux). Le pipéronil-butoxide qui entre dans la composition de la plupart des anti-poux mais qui n’est pas un insecticide, est également suspecté d’être cancérigène et tératogène.
Les produits de lutte traditionnels sont donc toxiques et dangereux. Nous devons éviter au maximum leur utilisation.

Symptômes
– Les symptômes d’infestation, s’il en existe, sont généralement bénins Ceux qui sont peu atteints (1 à 5 poux) ou qui ne réagissent pas aux produits anticoagulants que le pou injecte en suçant le sang peuvent être asymptomatiques.
– Les démangeaisons sont le premier signal d’alarme
– En examinant le cuir chevelu, vous verrez des sortes de petits grains de riz accrochés aux cheveux: ce sont des lentes
– Prêtez attention à des égratignures ou à des taches rouges sur le cuir chevelu
– Il arrive qu’on remarque des excoriations et des croûtes
– Plus rarement des surinfections bactériennes accompagnées d’adénopathie régionale

Complications
Contrairement aux poux de corps, les poux de tête ne propagent aucune maladie
Si vous pensez que votre enfant pourrait avoir attrapé des poux, vous devez agir rapidement avant que toute la famille ne soit infestée.

Observation
Prenez quelques minutes chaque semaine pour inspecter la tête de votre enfant, surtout si vous observez un grattage excessif de la tête. Il est important de disposer d’un bon éclairage. Pour chercher les lentes, séparez les cheveux en petites sections; commencez d’un côté de la tête et continuez jusqu’au côté opposé. Vérifiez soigneusement en inspectant les cheveux:
– À proximité du cuir chevelu
– Derrière les oreilles
– Sur la nuque
– Sur le dessus de la tête

Écouter
Ça me pique terriblement au-dessus et derrière les oreilles et j’ai des croûtes sur la tête: Staphysagria
On dirait que quelque chose rampe sur la tête et sur mon front: Ledum palustre
Ma tête est couverte d’épaisses croûtes avec du pus en-dessous: Mezereum
J’ai des éruptions à la racine des cheveux et la tête pleine de pellicules blanches: Natrum muriaticum

Indices pour trouver le Rx Homéopathique
Staphysagria: Ce remède est le premier à considérer, car il possède naturellement une action antiparasitaire et est utilisé populairement contre les poux. La dynamisation homéopathique renforce encore son effet.

Ledum palustre: Sensation de grouillement, de fourmillement, et démangeaisons sur le front et le cuir chevelu.

Mezereum: croûtes blanches surélevées sur le cuir chevelu sous lesquelles un sang purulent s’accumule, qui devient d’une odeur répugnante et produit de la vermine; les croûtes sur la tête ressemblent à de la craie et s’étendent au sourcils et à la nuque; morsures violentes sur la tête comme par des poux; soulagée de façon transitoire par le grattage et revenant toujours à un endroit différent, aggravé en soirée.

Natrum muriaticum: éruptions à la racine des cheveux et la tête pleine de pellicules blanches.

Posologie
– Donner 3 globules dans la dilution 30 ch, à tous les soirs au coucher pendant 3 jours, en plus d’utiliser un ou plusieurs des trucs mentionnés ci-dessous (très important, sinon le traitement homéopathique sera inutile et insuffisant).

– Si vous trouvez des poux qui bougent, de 24 à 48 heures après le traitement, donnez immédiatement un remède différent.

– Dès les premiers signes d’amélioration, ne redonner le remède que si les symptômes reviennent.

À quoi s’attendre de l’automédication homéopathique
Les remèdes homéopathiques sont très efficaces dans le traitement de cette condition, mais doivent absolument être accompagnés d’un ou plusieurs des trucs ci-dessous pour détruire les lentes autant que les poux et éviter qu’ils reviennent
Dans l’espace d’une semaine environ, le problème devrait être totalement résolu.

Trucs & Astuces
Il faut éviter les échanges de bonnets, cagoules, écharpes, serviettes, brosses, peignes et autres objets pour les cheveux et il faut mettre un bonnet à la piscine.

A savoir : l’huile essentielle de lavande possède de nombreuses vertus, dont celle de repousser les poux et les lentes ! Elle sert surtout à prévenir. Il suffit d’en appliquer deux ou trois gouttes dans le cou ou derrière les oreilles de votre bout de chou avant de partir à l’école.

Une autre solution efficace est de rincer les cheveux au vinaigre de cidre, dès qu’une rumeur de poux commence à courir car les poux ont horreur du vinaigre. Appliquer directement sur les cheveux et laisser agir pendant 1 heure, puis laver les cheveux avec un shampoing doux. Cette opération peut être répétée autant de fois que l’on veut, car contrairement aux produits vendus en pharmacie, le vinaigre n’abîme pas le cuir chevelu.

Il y a 3 étapes dans l’éradication des poux:
– Tuer les poux
– Enlever les lentes
– Nettoyer l’environnement

Signaler aux enseignants et à l’entourage que notre enfant a des poux
Expliquer à l’enfant de ne pas échanger bonnets, écharpes, foulards, barrettes, rubans, bandeaux et brosses.

Laver les cheveux avec 25 gouttes dans 4 litres d’eau, d’extrait de pépins de pamplemousse (E.P.P. – Nutribiotique), puis rincer au vinaigre de cidre (1c. à soupe pour 4 litres d’eau).

Mélanger 10 gouttes d’huile essentielle de lavande, 20 gouttes d’huile essentielle de Mélaleuqua, 10 gouttes d’huile essentielle de géranium et 10 gouttes d’huile essentielle de Bergamote, dans 2 onces d’huile de tournesol ou d’huile de Carthame et appliquer en massant doucement le cuir chevelu et laisser pendant quelques heures, préférablement pendant toute la nuit, après avoir enveloppé la tête d’un plastique, puis d’une serviette. Appliquer ensuite un shampoing doux (sans ajouter d’eau, afin de couper l’huile), faire mousser le shampoing, ensuite rincer, refaire un shampoing et rincer de nouveau. Passer les cheveux au peigne fin afin de déloger les lentes qui ont été libérées par le shampoing.
Recommencer le tout après 48 heures. Recommencer de nouveau après un autre 48 heures. 3 ou 4 traitements à 48 heures d’intervalle réussiront habituellement à éliminer l’infestation. Éviter le contact avec les yeux et enlever les huiles avec du shampoing au premier signe d’irritation, particulièrement chez les enfants.

Désinfecter les vêtements, bonnets, écharpes, literie et traiter simultanément l’entourage familial et scolaire, afin d’éviter une ré-infestation.

Autre ruse: mettre une nuit au congélateur les objets difficilement lavables; les poux craignent le grand froid.

Bonjour tout le monde!

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C’est un immense  plaisir de vous accueillir  sur mon blogue.

Je l’ai créé pour mes patients, mes futurs patients et tous ceux que l’homéopathie intéresse, mais pour qui elle est un peu mystérieuse ou intimidante, et qui veulent en connaître un peu plus sur le sujet.

Le contenu sera influencé en partie par vous, lecteurs. Il est donc important pour vous, et pour moi, que vous me fassiez connaître ce que vous désirez y  retrouver, afin qu’il réponde à vos besoins.

Vous pourrez aussi soumettre vos questions concernant l’Homéopathie, auxquelles je me ferai un plaisir de répondre, ce qui permettra à tous les visiteurs de partager ces informations supplémentaires.

Je vous souhaite un Bon Voyage dans le monde fascinant de l’Homéopathie